Mon MOI s'étonne de ce reflet
Dans ce miroir révolté...
Un Moi saturé
Encore fissuré...
Ce fut un réveil agité...
Une autre MOI exaspérée
Par cette guerre
Des enfants en galère...
Mon île ne respire pas cette fumée de bombe..
Tranquillité aléatoire face à ses tombes
Sur les ondes
Du monde...
Une mer remplie d'ombres
Sombres ...
Pères ,mères et enfants ont pris l'océan
Pour vivre décemment
Loin des feux
Et des cris peureux ...
Mon île regarde effarée
Ses pays envahis et apeurés ...
Sa petitesse ne peut pas ouvrir ses bras
Ses enfants règlent soucis et tracas
Son credo de liberté
Lire et écrire :une bonne scolarité
La base de toute éducation
Et une protection ...
L' autre MOI ne brise pas le miroir
Elle fait face pour un espoir
Espérance ,tolérance
Prier dans le silence
Confiance et paix
Pour notre planète en danger !
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"Fenêtre" 11/09/2015 Au fil de l'eau 3
"Paix" 3/04 /2015 "Cri des mots" dans le coffre d'archives !
Message !
Messages reçus et photo!++++ u n texte de LUDOVIC .
+++++Message: Merciii Lucie pour ce beau poème touchant tu sais émouvoir et ce n'est pas donné à tout le monde...bravos !
++++++Tristement beau!
+++++Bravo pour tes poème bonne continuation!
4 NOVEMBRE 2015
Ludovic Bandama Atiama
Je rajoute à tes mots Lucie, à ton credo, mes quelques mots d'espoir.
Le monde de paix.
Comme une envie de retourner aux racines,
Voir l'Homme vrai détourner des usines,
Croquer dans une pomme habitaient par des protéines
Sans tous ses produits chimiques qui nous assassinent,
Comme voir périr ses hommes de l'or noir qu'on raffine
Qui puisent au fond de la terre leur gloire "Stalinine"
Détruisent et font des guerres de Bush à Poutine,
Des bouches sans farines, de la misère pour des sterling
Qu'on abolisse le nerf de la guerre du Chili à La Chine.
Que le terrorisme perd la vie, qu'on libère La Palestine;
Le rêve si comme des cerfs on ne dessert pas la Terre
Semblable aux dromadaires sans dromes pour la guerre,
Des génies mammifères sans syndromes communautaires,
Des partageurs de l'amour, sans symptômes des gros notaires,
Des cœurs pour toujours, les Hommes comme sœurs et frères,
Sans ses malades qui des Hommes s'adjugent propriétaires,
D'êtres vulnérables pour pas chères et violentent leurs chaires,
Sans ses diables propriétaires d'une religion emprunter à Lucifer.