Archives 2015 à redécouvrir....(désolée :j'étais obligée de nettoyer le lien de certaines photos pour l'archivage)!
Poétiquement vôtre LUCYE RAYE
..Konversation entr' 2 dalons poètes renyoné Thierry Malet (en métropole )et Lucie Mayot Crescence à La Réunion !
2 noms de plumes Thierry =Titiyab (retrouvez ses textes sur le forum du site de lucyeraye.jimdo.com )
Lucie Mayot Crescence = Lucye Raye
Lenkr y débord' ...lé zami ...!Kréol' dan lo keur !
Titiyab *Note toute ans'am! tienbô largue pa la maré va lé é nou va baloté mé tienbo largue pa inn!
Lucye *Mon lang y batt' kom lo vagu' é mon plim' y suiv lo kouran..lenkre y débord ...nou tienbo ansamb!
Titiyab *mon mazination i pèt kon'm si mwin té viène nète! Toussala i mète à wmin oci mé nou doi èt la pou noute zeunesse! tiembo ansamb
Titiyab lé miène lé bien pov koté la vote mé mon plume i don'n a mwin lanvi kontinié é Kan ou lé la mi retrouv dé trwoa vié kozman grand'moune : fé tension marmaille ! Veille oute ti frèr, oute ti sèr! c sa la famille! tape pa, tié pa! menti pa! vol pa sinon bon dié va pini a twé.
Mi koné pa tro sa! Si l'avis lé kalou mi profite! Si la vie lé bel mi voudré profité oci! Kalou mal o ya, yapana ! kal a ou la, sinon grand-mère kal, émoticône wink va rivé!!! lol hé hop là !
*mi koné pa si mwin lé kalou é mi noné pa fiktion Kalou!* kossa sa?
LUCYE a mwin la ékri çà ...mwin a envoy' a ou le lien mi renvoye à ou sur message privé ....ou bwin sur ote page ..?
TITIYAB voyé na woar si lé kalou (l'île de la Réunion, mi di a ou sa lé kalou, toute do moune i danse séga, zoreil oci dan'ne ta! émoticône wink largué le kalou si mon mir siouplé madame !
lé bon largué si lo ross fil o zo fal
sa mm mm! mi lé pa in zenfan bum i don', mwin lé pa in zenfan volé , mon vié té travaye bell'pire sein deni (lopital) é la décid pou nou alé en Normandie ou KON PRAN § 1976 lé lwin inn? mon ker lé amaré, mon lespri i vogue é ma plume i rapel a mwin kissa mwin lété !
-Bon le devoir m'appelle dehors, je l'entends frapper d'un lourd gong sur la porte d'entrée. Il m'appelle vous dis-je et je ne saurais lui désobéir ! Je vous laisse madame à vos libertés, à vos écrits. Il est inutile d'insister madame, je dois vous quitter sur le champs ! Au revoir madame!
Lucye -Poétiquement vôtre Monsieur !
lien :nouvel en kréol ..Lé kalou (plan du site ....ou coffre d'archives thème La Réunion !
Choix de la vidéo de Thierry Titiyab Malet avec son texte posté ci dessous le 19 novembre 2015 " loin de toi mon île"
Avis du poète Titiyab Magique! Vraiment ! Excellent
Merci pour cet extraordinaire partage ! J'adore!
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COMMENTAIRES : 47
coco ijahman(mercredi, 04 novembre 2015 13:25)
MERCIII Lucie très bonne initiative... te souhaite beaucoup de succès ! Bisous
Titiyab(vendredi, 06 novembre 2015 17:18)
Comme il m'est agréable de me retrouver face à toi sur un mur qui pourtant ne présageait rien de bon! Comme il est doux de te lire, de te découvrir peu à peu quand le monde se fond! Merci pour cette magnifique initiative qui je l'espère attirera bien des vagabonds, des fripons!
Liliane Céline(vendredi, 06 novembre 2015 21:12)
C'est par la pointe de ta plume d'Or
Que tu fais ressortir tes inspirations
Tes poèmes ne sont que des chef d'oeuvres ....
Une âme soeur pour penser et panser
Des douleurs pour que les blessures
S'envolent !!!
Bravo pour ta passion que tu transmet
De façon vivante
coco ijahman(samedi, 07 novembre 2015 08:27)
Merciii notre Poétesse pour ce sublime poème sur le Gambier avec tes mots tu me fait rêver voyager et c 'est un grand bonheur BRAVOS
Bandama Atiama Ludovic(lundi, 09 novembre 2015 05:04)
Bonjour,
belle initiative, que voilà :) . C'est avec un grand bonheur, que je lis tes poèmes si riches, si beau. Je ne me lasse jamais, de les lire, et, je dois te dire que c'est rare, qu'un auteur accroche autant mon attention.
Belle continuation à toi, la poétesse .
Titiyab Malet(jeudi, 12 novembre 2015 19:46)
Thierry Titiyab Malet
1 h
Ô ! Beau Flamboyant Titiyab le 10/01/2006
Placé là par des Dieux, sous des alizés aux allures créoles naissantes
Tu revêts chaque été ta ravissante robe de rouges fleurs chatoyantes
Miraculeusement venus pour apaiser nos affres agonisantes
Sur de ta majestueuse présence, tu tiens en suspens nos pensées évidentes
D’une possible libération pour notre peuple déraciné c’est l’attente
Notre peuplade méprisée, si souvent opprimée, oh ! Combien attachante
Gardes en ton corps moult mort, frappés par ces mauvais esprits qui te hantent
Essaime aux vents malicieux tous ces spectres aux âmes malveillantes
Maudites autrefois pour leurs actes barbares, en armes rutilantes
Mortifiant l’être en larme, venu d’Afrique en vagues déferlantes
Versée sur tes flancs ployant, la houle rougeoyante
Écrasée sous le choc brutal de cette trahison fulgurante
Ô ! Mon beau flamboyant, des années fouettées au sang, dure l’attente
D’un jour comme celui d’un 20 décembre libéré de tes chaînes entravâtes
Tu nous relates sous le vent une esclave pensée, si noire et désespérante
Quand dans ton feuillage, jaillissent de rouges fleurs qui ensanglantent
Ces misérables tâchés par la honteuse tragédie qu’elles enfantent
Même s’ils prient dans les champs de coton aux feuilles qui chantent
Leurs cris laconiques montent en toi, tourbillonnent et résonnent l’insolente
Dérision attente qu’imposent ces hommes sans foi, ces maudits planteurs qui mentent
Tu frissonnes d’effroi et tes chairs sont mortifiées par d’horribles douleurs pénétrantes
Penses à mes frères qui devaient se cacher, assommés de paroles outrageantes
Calomniés par ces négriers colons d’antan, sur eux s’acharnant en caresses cinglantes
Fouettant au sang de valeureux guerriers lâchement vendus aux frégates passantes
Par des chefs sans scrupule, des tyrans oppressants, pour de vulgaires pitances
Panse les plaies à jamais laissées sur ces laborieux coupeurs de cannes, à la peau suante
Combien de fois ont-ils du s’adosser sur les côtes de ton écorce rassurante
Échappant ainsi à la haineuse autorité de leurs maîtres blancs, cette race médisante
Quand leurs tristes pensées se mêlaient aux tiennes, arborées d’idées naissantes
Un murmure créole parlant de liberté proche, de promesses sous-jacentes
Elles allaient s’évader par de tristes pleurs, rouges larmes ruisselantes
Sur toi flamboyant, resté là pantois sous tes branches rassurantes
Vert d’espoir, rouge de colère pour notre fratrie succombant
Tout comme eux tes fils avaient été déracinés, arrachés à cette terre aux cent pentes
Pour donner à notre île la beauté du sang neuf, fragile terre brune si fringante
Magnifique mélange ethnique, fraternelle ritournelle, si enrichissante
coco ijahman(vendredi, 13 novembre 2015 10:06)
BRAVOS et merciii à Titiyab pour ce splendide poème quelle émotion !
Titiyab Malet(vendredi, 13 novembre 2015 13:04)
Merci à toi Lucie de m'avoir permis l'expression et merci à vous toutes et à vous tous d'apprécier mes textes car ils sont écrits avec des maux mais aussi mes mots! Merci à toi coco ijahman.
Jacques Millet(samedi, 14 novembre 2015 20:02)
Merci pour votre initiative
de nous , l'esprit tu ravives
Pas besoin d'aller aux Maldivives
pour que pasions et bonheurs vivent
De simples humains nous sommes , certe !
parfois il est necessaire que l'on se concerte
avant que du repas soit fait la désserte
c'est pour cela qu'ici je disserte
Jacques Millet
Jacques Millet(samedi, 14 novembre 2015 20:22)
Monsieur ; je dois dire votre poème grandiose
excusez moi , de la pose
Et je dois ajouter , si j'ose ,
A autant d'attrait qu'une rose.
Titiyab Malet(dimanche, 15 novembre 2015 08:14)
Merci à vous si vous apprécier mon texte
Je tacherai de revenir avec quelques mots
Juste pour le plaisir d'écrire ! Bonne journée
Un grand merci à Lucie pour ce forum et pour
sa délicatesse
C'est le jour de la prose !
Titiyab Malet(dimanche, 15 novembre 2015 09:12)
Pour tous mes amis amateurs
même ceux qui sont agitateurs
j'écris à ces petits mots coeurs
Ô fleur ! Tirée de mon cœur !
Tu es l’image de la douceur,
Aux pétales un peu farceurs !
Extirpées Oh! Pauvre cœur
De cet espoir, d’une lueur
De jours plus prometteurs
Qui me laisseront, rêveur
Par toi je deviens meilleur !
Mes défauts partent ailleurs
Je ne sens plus leur acteur !
Tu es la Grâce faite fleur
Cette Fée de mon cœur
Qui m’enlève mes peurs
Quand pour moi, tu pleures
Me lavant de mes erreurs !
Je reprends des couleurs
Toi ma chère petite sœur
Belle Fée de la candeur
Vêtue de ta simple fleur
Délicatement tu effleures
Mes maux, mes douleurs
Me redonnant cette ardeur
Par ses effets révélateurs
De vite remettre à l’heure
Mon esprit un peu vengeur
Qui nuit aux elfes songeurs
A tous ceux qui vide leurs
Rêves pour léviter l’horreur
Tu sembles sensible, sœur !
Dans ta robe aux senteurs
Dessiner dans cette torpeur
Qui te donne cette pâleur
Tirée de l’image de pudeur
Qui t’anime avec ardeur !
Titiyab, toujours railleur !
Photo de Thierry Titiyab Malet.
coco ijahman(dimanche, 15 novembre 2015 11:43)
Merciii Titiyab pour ce beau magnifique doux poème bravos :)
Titiyab Malet(dimanche, 15 novembre 2015 11:50)
Merci à toi cocofjahman
Titiyab Malet(dimanche, 15 novembre 2015 20:22)
Thierry Titiyab Malet à Ville-sur-Terre.
24 décembre 2011 · Modifié ·
La vie est comme ces ailes
Ni blanches, ni noires
Elle plane bien au dessus de toi
Tu baisses souvent la tête!
Sans avoir de raisons
Mais .../...
Quand l’amour s’aigrit au fil du temps
Traînant souvent de tristes souvenirs
Imprimés dans les tôles d’un auvent
D’une petite case créole en délire !
Qui t’ouvrait ses portes en chantant
La vie semble te donner des ailes!
De son ombre détendu sur ton être
Sous le poids de doutes qui naissent
Le ciel semble s'abattre sur ta tête !
Tu n'as aucune raison de douter
Aucune peur à avoir des autres
Car de toi la lumière s'est élevée
Relève doucement tes paupières
Regarde le bleu clair de ce ciel
Tu te sentiras bien plus joyeux
Thierry Titiyab Malet (no copyright)
coco ijahman(lundi, 16 novembre 2015 09:06)
J adore ce poème il est frais beau avec des notes optimistes merci Titiyab :)
Titiyab Malet(lundi, 16 novembre 2015 12:31)
Mille mercis à tois cocoijahman ! Bonne journée
Titiyab Malet(lundi, 16 novembre 2015 13:00)
Thierry Titiyab Malet
4 octobre 2014
L’île de la passion
Existe-t-il de plus bel endroit en ce monde
Que cette plage blonde balayée par la mer
Où plutôt par l’océan en vagues furibondes ?
Ressentez vous tout comme moi les rayons
Chauds qu’enfantent, au zénith, cette étoile
Ce soleil qui s’embrase là-bas à l’horizon ?
Savez-vous cette joie que je ressens au fond!
Quand accroupi, en prélat sur un sol fécond
Je pousse un grand soupir, ivre de déraisons
Il me faut contrôler mon souffle ! L’inspiration!
Qui se perd facilement devant de tesl spectacles
Ces richesses restées secrètes, si inabordables
Nous sommes les enclavés d'un monde profond
Les oubliés d'une terre promise, et inacceptable
Les promis à l'union d'une ère qui se veut stable
Thierry Titiyab Malet Bla bla bla..... /...........
Titiyab Malet(jeudi, 19 novembre 2015 11:25)
Loin de toi mon île.
C'est un autre jour passé loin de toi mon île
Toi ma terre, qui fût le berceau de ma vie !
Toi qui m'avais insufflé de naître qu'envie (d'être cette envie d'être.)
Contre vents et marées tu me protèges, Hé!
Sous tes tamariniers de la pluie, me gardais
J'aimais tant à m'endormir contre son flanc
Tu m'avais aussi bercé au rythme d'idylles
Secoué par les vas-et-viens de tant d'émoi
Balayé de tes cyclones malvenus et habiles
Nous nous étions enlacés, tu m'avais promis
Que rien ni personne ne pouvait m'enlever !
Rien ne pouvait alors nous faire perdre la foi
Nous nous promenions sur tes côtes fleuries
Puis nous jetions l'encre sur tes belles pages (ou l'ancre sur tes belles plages!)
Près de toi, je me sentais grandis, si hardi !
Puis vînt ce jour maudit ou tu m'auras trahi
ou plutôt devrai-je dire que tu ne retînt pas
Je me sentais si mal et quelques fois perdus
Sur ces nouvelles terres, en cette Normandie
Obligé de replanter quelques belles racines
Sans tes belles promesses, la vague à l'âme !
Thierry Titiyab Malet le 19 novembre 2015
Sur ce je te quitte
On ne se verra plus
Si ce n'est qu'en pensées
Titiyab Malet(jeudi, 19 novembre 2015 13:29)
C'est génial de pouvoir s'exprimer en créole et de partager des émotions dans la même langue! Merci Lucie
Ludovic Bandama Atiama(samedi, 21 novembre 2015 07:59)
Son cœur te fait une fleur
Ne lui demande pas pourquoi?
Une fleur sous tes peurs est à toi
Voilà une erreur,
admire-la...
Accueille-la!
Mais ne la cueilles pas,
Ou tu pleureras puisqu'elle mourra.
Tu te blesseras à vouloir
voir une rose à la racine:
Car ton cœur peu élégant,
Cent peurs et sans gants,
Oublie ses milles épines.
©L'amour est abandon, Ludovic Bandama Atiama.
coco ijahman(lundi, 23 novembre 2015 21:12)
Merciii Ludo pour ce poème romantique et sublime j adore ! Bravos :)
Titiyab Malet(mardi, 24 novembre 2015 10:35)
Ma lune !
Ma lune est en bien trop en colère
Elle veut tourner le dos à la terre !
Fatiguée d'y voir tant de misères
Ma lune rougit de honte, désespère
Elle aimerait sortir de l'hémisphère
A voir l'homme spolier le lithosphère
Quelle honte me dit-elle d'en l'air !
Et peut-être sauras-tu les distraire
Apportes leur un message d'enfer
Pour qu'ils réalisent leurs dévers !
Sois mon messager, soit le cerbère
Me lança-t-elle un peu plus amère
Ferme les portes, qu'ils ne fédèrent
Avec un peu plus de vils compères
Des esprits malades qui s'indiffèrent
Souffle sur eux les peurs glacières
Cri l'amour dans leurs chaumières
Pour qu'ils retrouvent cette lumière
Je ne saurai me montrer rancunière
Pour eux là-haut je ferai des prières
Combat petit et de toi je serai fière !
Thierry Titiyab Malet le 24 novembre 2015
Ludovic Bandama Atiama(samedi, 28 novembre 2015 14:20)
Rêve un instant d'une trêve,
qu'une dispute se transforme,
En un moment de fièvre,
Le décors prend forme,
Les envies se dessinent,
Les intentions se devinent,
Sentiment au bout des lèvres,
Volcans d'évasions en phases,
Cœurs percussions et cœurs basses
Compagnons d'une musique de Jazz,
L'atmosphère de passion s'embrase,
Amour en ébullition, les rêveurs s'embrassent
Et le nirvana, l'éruption,le moment d'extase...
©Enivrante Réconciliation, Ludovic Bandama Atiama
Coco ijahman(samedi, 28 novembre 2015 20:17)
Merciii Ludovic pour ce splendide poème j aime beaucoup ton style. ..
Titiyab Malet(mardi, 01 décembre 2015 07:57)
Quand la mer épousera la lune dans l’oubli
Lors d’un soir glauque où sombrera l’envie
Le monde se retire, Râ peu à peu s’engloutit !
En ses sables mouvants que l’on a construits
Pourtant ici bas la vie s’insurge, et maudits
Nous restons insensibles, est-ce une ineptie
Un reflet de nous-mêmes qui soudain s’unit
En ce clair de lune qu’un petit rien alourdi !
Je suis là à tes pieds quand la houle vrombit
Bien au loin des ressacs de ce pseudo délit
Agacé, par l’audace d’une mer qui s’enfuit
Sans autre contrainte, forcément par ironie
Mais contraint à l’absence par ces mots dits
D’une manière insouciante, en une parodie
Le monde continue sa route, en symphonie
Sur des accords heureux ou de purs conflits
Thierry Titiyab Malet
Coco ijahman(mardi, 01 décembre 2015 08:45)
Merciii Titiyab Malet pour ce splendide poème qui me laisse réveuse ....le choix des photos superbes bonne continuation
Hoarau(mardi, 01 décembre 2015 09:24)
Un grand bravo à vous pour vos écrits
C est dommage je ne sais pas écrire
Merci Lucy , Thierry et Ludovic
Continuez comme ça
Titiyab Malet(mardi, 01 décembre 2015 09:39)
Bonjour à toutes et à tous et merci de nous encourager dans nos écrits et à travers eux
Merci Hoarau, Lucie, Ludovic, Coco! Je vous souhaite une excellente journée
Bises. Titiyab
Titiyab(samedi, 05 décembre 2015 08:28)
Bonjour amis de la poésie! Je suis heureux de lire vos poèmes et commentaires et je transite souvent par la rue de la Poésie! Un grand merci à notre amie poétesse Lucie et à toi aussi Ludovic (j'aime ton style) Marchons encore un peu ensemble voulez-vous! Découvrons les échoppes pleines de livres, de vieux grimoires! Bon week-end à vous
Titiyab
Ludovic Bandama Atiama(samedi, 05 décembre 2015 16:46)
L'amour Universelle :
Pour l'âme se sublimer, il faut oser aimer, les êtres, les choses, la délicatesse d'une perle de rosier, sa fraîcheur qu'on cueillerait dans nos coeur, pour la transposer, pour l'offrir en bonheur, pour l'aimer Elle, lui, l'animal, la chose, le paysage, la pensée sage, l'universelle, l'infinie, la rose, l'amour philosophale.
©Ludovic Bandama Atiama
Titiyab Malet(vendredi, 11 décembre 2015 12:21)
L’île de la passion
Existe-t-il de plus bel endroit en ce monde
Que cette plage blonde balayée par la mer
Où plutôt par l’océan en vagues furibondes ?
Ressentez vous tout comme moi les rayons
Chauds qu’enfantent, au zénith, cette étoile
Ce soleil qui s’embrase là-bas à l’horizon ?
Savez-vous cette joie que je ressens au fond!
Quand accroupi, en prélat sur un sol fécond
Je pousse un grand soupir, ivre de déraisons
Il me faut contrôler mon souffle ! L’inspiration
Se perd facilement devant ces beaux spectacles
Ces richesses restées secrètes, si inabordables
Ces milliers de choses, à nos yeux, imparables
Pourvues d’âmes ! Nous en sommes insensibles
La grande dame a toujours attirée les misérables
Ces chasseurs qui l’ont dépouillé sans scrupules
Violant sa tranquillité par de brutales invasions
Ils ont souillés ces terres, puis bafouer sa vertu !
Thierry Titiyab Thierry MALET
Coco ijahman(vendredi, 11 décembre 2015 13:49)
Un grand merciiii Thierry pour ce sublime poème ! Bravo poète :)
Mario (oui ali mem)(samedi, 12 décembre 2015 05:28)
Bravo lo frèr ! Gadyamb poèm !
Mario (oui ali mem)(samedi, 12 décembre 2015 05:30)
Bravo pour toutes tes publications Lucie ! Trop valab !
Titiyab Malet(samedi, 12 décembre 2015 17:43)
Bonsoir, Merci à nos ami(e)s lecteurs, lectrices d'apprécier tous ces passages à l'encre sous l'oeil attentif de notre poétesse que je salue au passage ;) Merci Lucie
Merci Mr Mario Ouialimem :) Un grand merci à mon amie Coco pour ce cadeau offert à ma modeste personne ! Bises à vous tous mes ami(e)s
Coco ijahman(samedi, 12 décembre 2015 18:28)
Merciii pour ton gentil mot Thierry tu le mérites :)
Coco ijahman(dimanche, 13 décembre 2015 08:23)
L Amour universelle. ..Merciii Ludo pour ce magnifiqueeeee poème un beau cadeau :)
Titiyab Malet(dimanche, 13 décembre 2015 08:34)
Chacun de nous ici-bas mérite sa place, a le droit de s'exprimer.
Nous avons encore la chance de pouvoir le faire que ce soit de manière artistique, philosophique et toujours dans le respect du Grand Soi et surtout dans le respect des autres !
Merci à vous.
Titiyab
Ludovic Bandama Atiama(lundi, 14 décembre 2015 12:02)
France, Je suis venu te dire que je m'en vais,
Sans te maudire sans sentiments mauvais,
Je me souviens des jours anciens les belles heures,
Que je passais à tes côtés et mes bonheurs.
Mais nous ne sommes plus les bienvenus,
Alors le moment est venu,
je suis venu te dire que je m'en vais,
Avec des amis je m'en vais créé,
Un havre d'amour un havre de paix.
Je suis venu te dire que je m'en vais
Je m'en vais co-créer mon état rêvé,
Ce n'est pas un adieu à jamais,
Malheureusement je voudrais,
te dire que réellement je m'en vais...
Comme diront nos Verlaine au vent mauvais,
On va créer des banques pour distribuer,
Des vers et de la laine pour se réchauffer,
Et de l’amour puisque la haine c’est démodé...
Dans nos banques on vient se rencontrer, se raconter,
On apprendra l’amour avec des gestes tendres,
On se rappellera des mots qu’on ne veut plus entendre,
On se souviendra des jours anciens avec horreur,
Qu’elle était laide la vie de chien à d’autres heures,
Avec l’entraide qu’on est bien, mais quel bonheur !!
Nos arrières petits-enfants,
Nous parleront d’un temps
Que les moins de vingt ans…
Ne peuvent pas connaître,
Chez nous plus de paraître,
Tu peux vivre tes sentiments,
Être ivre de pouvoir être…
Et le crier à toutes les fenêtres…
Notre état s'appelle l’Aziza,
Les couleurs les bons mots,
Tout nous va,
Que tu sois martien où de là…
Dans mon havre de paix des fleurs, il n’y a plus rien de rude,
Tous des enfants de la spontanéité dans le cœur comme d’habitude…
Sans bruit je quitte ma maison tout est bonheur dehors comme d’habitude….
Comme d’habitude tous les journées on ira jouer comme des enfants…
De la musique et de l’amour partout, comme d’habitude
Oh non mon rêve ne me quitte pas,
Deviens réalité, je t’inventerai des mots insensé…
C’est triste ce que tu me dis là…
Dis quand reviendras tu? pourquoi tu t'en vas?
France, Depuis que je suis loin de toi,
Je suis comme plus près de moi,
Mes amis, Je n’oublierai jamais ça,
Toi et moi, nos rêves, notre état...
France, Je suis venu te dire que je reviens,
Malheureusement le voyage touche à sa fin,
Je m’en viens retrouver la réalité,
J’étais venu te dire que je rêve de m’en aller…
©Ludovic Bandama Atiama
Coco ijahman(lundi, 14 décembre 2015 13:26)
Merciii cher Poète vraiment très beau et bien ècris ton poème BRAVOS et FÈLICITATIONS continue Ludo !
Titiyab Malet(dimanche, 20 décembre 2015 10:58)
20 décanm' 2015
Pour vous mes frères de la Réunion : Note toute ansan'me !
C'est là le moment de redresser tous nos idéaux
Dans une lutte passive contre vents et par vaux
Car nos valeurs sont celles forgées sur cet étau
Brûlées au fer, revenues des enfers, en oripeaux
Dans les habits de ceux qui voulaient notre peau !
Allant même nous troquer dans de vieux tripots !
Nous sommes libres aujourd'hui, libérés du sceau
De cette marque déposée en nos chers, au fer chaud
Nous sommes libres en ce jour, sortis de leurs cachots
Fiers de marcher sur les traces de nos pères
Hissons très haut toutes nos valeurs sans autre accroc
Avec force passive, dans la joie, ce ne sera jamais trop
Marchons ensemble vers ce bras de mer, vers ses flots
Et jetons notre écume à l'amer pour oublier ses fléaux
Libérons-nous une fois pour toute des marques du véto
Ne soyons pas déchaînés contre ceux qui furent bourreaux
Des sangs mêlés nous sommes, souquez, Hissez Haut
Fini la galère, cent fois, et mille voix, sur ces bateaux
Récrions nos colères, refusons de sombrer sous ce préau
Et chantons nos aïeux. Soyons fiers d'être le renouveau !
Ce peuple aux cent foulées qui arpentèrent en cheminot
Les terres rouges au sol fécond où naîtront leurs marmots
Ce peuple au coeur moulé dans un amour des plus chaud
Nous sommes tissés en des endémiques valeurs du plateau
Brandissons notre respect, sans arme
Soufflons leur notre amour de la vie
Sortons des tréfonds des soupiraux !
Soyons l'exemple du nouveau monde
Dans l'amour, la fraternité et la paix
Un sang mêlé, unicolore dans l'unité
Thierry Titiyab Malet 20 décembre 2015
Pascale(dimanche, 20 décembre 2015 14:14)
Bravo Thierry c est magnifique ce que Tu as ecrit . Je ne peut que lire et apprecie ce que Vous ecrivez Lucie Ludo et toi
Encore une fois c est magique Continuez a me faire rever c est au Moins une chose que je sais faire
Coco ijahman(dimanche, 20 décembre 2015 18:47)
Un grand merciiii Thierry pour ce splendide poème qui prend au tripe ! BRAVOS :)
Titiyab Malet(dimanche, 20 décembre 2015 19:22)
J'écris pour vous. Nul besoin de s'absoudre ! Je vous aime
Titiyab Malet(mardi, 22 décembre 2015 08:28)
Un merci particulier pour chacun d'entre vous, en vous souhaitant de très belles et joyeuses fêtes de fin d'année
Votre serviteur, Titiyab
Coco ijahman(mardi, 22 décembre 2015 16:13)
Merciii Thierry je te souhaite aussi de très belles fêtes de fin d Annèe amitié coco :)