Texte de LUCYE RAYE .
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Sur ma balançoire!
Sur ma balançoire
Dans ce beau décor
Le balancement du soir
Balancelle en or !
Je ferme les yeux
Et tu t'approches heureux .
Tu t'assois
Et de tes mains de soie
Tu dessines dans mon dos
Des frissons d' Ô !
Tatouage invisible pour toi
Cette encre de plume trémousse pour moi !
Et on se balance tout doucement
Tes gestes continuellement!
L'alizé nous pousse de plus en plus loin
Et ce dessin accentue ce besoin
De s'aimer comme deux adolescents
Au prise avec des interdits indécents !
Le ciel se couvre !
Un vent frais nous découvre !
La pluie se dessine
Avec une bruine fine !
Tes peintures fragiles
Sur ma peau docile
Tiendront toute la nuit
Même sous la pluie ...
Ne pas briser cet instant magique
De ce cadre féerique
Mon dos
Était ton tableau .
Pour ne pas gommer tes écritures
Cœurs et autres sculptures
Nous quittons notre balançoire
Pour un abri dans le noir .
Hamac en balancelle
Tu m'aimes en dessinant des L
Tu effleures de tes doigts encore peinturés
Ce corps dénudé ....
Pour des actes commandés
D'un amour bien ficelé!
A découvrir ....16/10/2015 - Coup de foudre !
Message .
Messages reçus +++photos en cadeau!
+++Superbe poème
++++Message: Merciii pour ce splendide poème d' Amour toujours un un grand plaisir de te lire Lucie bravos 🌻🌼🌹🌸
++++Magnifique texte !
++++++Message: Ton poème. .c'est un petit câlin qui fait du bien chaque matin
Amour velours Amour tout court
L'amour seul est parfait :: il faut qu'il trouve
Son second pour être heureux
Passionnée et passionnante Poétesse
Mille mercis
+++++Message: Balancés par le vent
Sous la fine ondée, le couple s'enlace
Rien ne les touche si ce n'est l'amour
De ces gestes langoureux il s'enlacent
La balancelle se ploie sous leur joug
De leur rageuse envie de s'unir enfin
En cette matinée d'or, ils sont fougue
L'innocence de leurs mains les découvre
Chacun de leurs sens se mettant à éveil !
Ils se voient en appareils d'Adam et d' Ève
Elle rougit un peu, il se cache d'une main
Les voilà lotis, et ils se lovent doucement
L'un l'autre blottis dans leur cocon de nid
…/…
Thierry Titiyab Malet (le 4 février 2016)