Percussion.

Texte de LUCYE RAYE.

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                                             Percussion.

 

Tu es cet homme que je n'aie pas connu 

Dans ce passé ,dans ma rue .

Tu es cet amour que j'aurais dû 

Croiser quand j'avais tout perdu !

 

Tu  es cet homme que j'aurais  aimé 

Si je t'avais rencontré 

Au bord de la mer bleutée

Ou à l'orée de cette forêt !

 

Tu es cet homme avec qui j'aurais dansé 

Lors de nos fêtes de village enguirlandé

Des pas de danses recommandées

Pour des flirtes anticipés !

 

C'est  sur la rive de ce ruisseau 

En suivant des yeux le fil de l'eau 

Nos regards se sont foudroyés .

Un coup de tonnerre télescopé ...

 

Deux corps tamponnés  comme des marteaux de piano 

Percussion  des cordes pour une composition en duo !

Tu es mon homme  ...Mon amant tant espéré ...

                             Et on va s'aimer ...

 

Ne plus jamais se quitter 

On s'est trop longtemps cherché !

 

Tu es cet homme qui est dans mon lit 

Cet amour qu'on a cueilli

Un amour de liberté que l'on vit

Comme ses roses épanouies !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Messages reçus+++photo

+++++Message: Waouh j 'adore ce poème ta plume est divine notre poétesse tu es un véritable rayon soleil qui nous réchauffe le coeur merci et bravos !!!!! 👍💚💛💜💖👍

 

++++++TU ES MA POÉTESSE ADORÉE

 

+++++17 FEVRIER Message: La plage

 

En contrebas, sur la belle plage

Les amoureux se font audacieux

Rien ne semble gêner leur rage

 

Celle de s'aimer en fermant les yeux

Sentir le cœur de sa belle dulcinée !

Se blottir contre elle, c'est merveilleux

 

L'écume blanche vers eux déferle

En gouttes d'eau, en forme de perle

Au loin résonne le chant d'un merle

 

De grands frissons hérissent leur peau

L'amour leur sert sa grande sérénade

Les amoureux en oublient les assauts

 

De ces vagues froides qui les dévoilent

Nus de tout tabou, de l'amour scandale !

Rien ne compte plus, ils mettent les voiles

 

Leurs yeux chavirent et fixent les étoiles

Naviguant maintenant sur une mer calme

De par leurs rêves, ils s'évadent et rament

 

Rien ne pourrait les soulager de ses lames

De cette mer déchaînée qui les enflamme

Car l'amour est bien plus fort, il réclame !

 

…/…

 

Thierry Titiyab Malet (le 17 février 2016)