Texte de LUCYE RAYE.
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POÈTE ET SA DAME .
Tu as encore rêvé d'elle
Cette île de rêve
Qui berce tes pensées très belles
Ne fais surtout pas de trêve* !
Mer et montagnes effleurent nos muses
Nous nageons dans ses vagues
Sirène et Poète s'amusent :
Nous rejoindrons les abysses et les algues!
Toi ,tu t'actives pour l'excursion
Moi, je me promène sur le rivage
Tandis que tu grimpes sur le volcan en fusion
Je fais des cœurs avec les coraux sur la plage !
Notre île est belle
Papillons et fleurs se pâment !
Tu dessinent des métaphores très visuelles
Pour assainir les vagues à l'âme !
Tu as encore rêvé d'ELLE
Notre RÉUNION : tes vers sont cérémoniels
Elle reste la Dame qui t'appelle
Toujours dans tes songes éternels !
Elle t'a vu naître
Tu es un de ses fils :son être
Et toi tu rêves d'ELLE
Tu es si éloigné d'ELLE ...
ELLE garde précieusement dans ses nuages
Ton cœur de poète ange sans âge:
Car tu lui manques aussi
POÈTE AMI !
A redécouvrir 19/05/2015 - notre volcan ...LA FOURNAISE...
18/01/2016 - Pour un poète ....loin de son île !
****"Île de trêve " de ce poète à lire à la fin du lien 22/02/2016 - TU ES MA VIE .
Message!
Message reçu !+++photo
+++++Message: merveilleux, plein de douceur, tu es une poétesse au grand cœur " d'OR "!
++++++TU ES MON AVENTURE REUNION
LUCIE, TOI TU ADORES TON ÎLE DE LA REUNION
++++++Message: Sans toit je plie !
J'ondule comme cette pluie qui sur la tôle défiait
Ce bois qui était supposé m'apporter la maturité !
Je plie sous la beauté de tes charmes, ta volupté
Je t'en supplie, dis moi que tu ne m'a pas oublié !
Dis moi que ma case fut par tes colères, épargnée
Je garde en moi de ces années que tu avais engagé
Je dois dire que je me sens particulièrement flatté
Par tant de pensées érigées sur une page déchirée!
Si d'accoutumée je ne songeait à répondre à l'idée
C'est qu'aujourd'hui tes lettres me sont destinées
Comment pourrai-je passer à côté de cette unité
Toi sur la plage bondée, moi sur une côte enneigée
Tu m'as vu partir à l'époque et tu me savais dérivé!
Nous aurions pu en discuter mais c'était prématuré
Tu m'as laissé virer vers des horizons bien enflammés
Loin de toi j'ai appris à vivre et à conserver ce projet
Qu'un jour je serai à nouveau le fils que tu désirais !
J'ai honte aujourd'hui en disant que je me suis désisté
Mon île, ma mère, celle qui fut pour moi délestée !
De tout soucis, de tout avenir, pour laisser se placer
Ma place en d'autres contrées, et plus de possibilités
Mon île, ma mère, je sais que de toi je me suis détaché
Qu'aujourd'hui ceux sont mes regrets qui sont enlacés !
A toi, comme à moi qui reste là si toutefois tu soupesais
Mes envies, comme tu l'avais fait jadis quand je naissais
Mon île, ma mère …/… je ne pourrais jamais t'oublier !
Thierry Titiyab Malet (le 22 février 2016)
+++++Message: Quel beau poème ce voyage dans ton île Lucie un rêve éveillé de parfum exotique de paysages magnifiques merciii pour cette excellent moment !