Texte de LUCYE RAYE .
Image internet !
INTERLUDE.
J'ai éparpillé ma poésie de main en main
Lors de soirées entre copains
En les lisant
En riant ...
Lors de mes déplacements professionnels
C'était très fraternel
A la Réunion et de part le monde
On était tous dans la ronde !
A ce jour ,tout est posté sur les réseaux sociaux
Publication pour l'humanité au fil de l'eau !
J'agace plus d'un : j'en suis sûre
Vous souriez à travers vos commissures ...
Beaucoup d'entre vous ne regardent que les photos
Se libèrent des écrits d'un regard "en saut" ...
D'autres lisent jusqu'au terminal
Et me laissent des messages en final !
Certains ne recherchent que des vers érotiques
Restent silencieux sur la vague magique
Se préfèrent être inconnus
Mais lisent d'une vue soutenue .
Mes lecteurs ont compris mes inspirations sur la vie
L'amour ,la nature et ce que l'homme vit
Ils suivent les publications car une amitié
S'est construite à travers la fluidité
"Ma lucidité *
Mon intégrité
Et ma participation " pour une vie meilleure !
Ma poésie captive par l'émotion à toute heure !
Je la préfère silencieuse
Mais comme elle s'envole avec les mouettes malicieuses
Elle est devenue rageuse et souvent rieuse !
Mon interlude poétique en ce mois de mars printanier
Les hirondelles prennent le relais pour un partage à amplifier !
* Mots d'un message de Thierry
Message .
Messages reçus ++photo
++++++LÀ TU FAIS MON BONHEUR.
+++++Oui Lucie il y en à pour tout le monde, le choix est beau et vaste ,sur ton merveilleux site... moi je dévore tous tes poèmes, et c'est que du bonheur merciii et un grand BRAVOS
++++++Message: Mars est vie !
Mars arrive avec sa flopée de contrastes
Un interlude à l'hiver qui en ses strates !
Aura marqué les paysages en magistrat
Blanchissant les étangs, gelant le temps
Sur la plaine il s'était étendu en arrogant
Allant même vider le ciel de ses patients
Ses fauvettes friponnes qui le sillonnaient
A la quête de leurs dernières becquetées !
Emportées par le vent, elle tourbillonnaient
Mars inquiets, ira sans prémices, à taquiner
Ces bourgeons timides qui pointent leur nez
Sous l'écorce encore froide du vieux pêcher
Plantés là autrefois sur ce sol de Provence
Il en aura connu des printemps providences
Et tant encouragé de ses fruits cette enfance
Bien perdue aujourd'hui, si riche pourtant !
Que de souvenirs qui reviennent à présent
Accrochés aux promesses de ce puissant
Ce beau mois de mars qui ramène avec lui
La joie de vivre, et ce bel espoir qui reluit
…/…
Thierry Titiyab Malet (le 10 mars 2016)
Bonne journée mon Amie!