Texte de LUCYE RAYE.
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Ultime verre !
Allongée sur le sable ,ce parasol bleu
Me protège des regards envieux.
Je reste comme je suis
Bien ancrée dans ma poésie!
Je suis saoule de mes vers
Qui débordent en "verre" !
L'abus avec excès .....Un syndrome poétique
A l'orée du coma éthylique....
Ivre de mes voyelles
Qui suivent les hirondelles
Car mes consommes
Sont encore prisonnières d'un automne...
Mes mots capturés par cet été moribond
Je titube à l'extrême en vagabond !
Et là ,devant ce lagon
Je mets de l'ordre dans mes quatrains furibonds
Après un bon plongeon
Même si je tangue ...Protection!
Car ta main secourable
A secoué cet hiver exécrable
Qui a ralenti mes souvenirs mémorables !
C'était un mauvais rêve
On n'est pas fâché ,juste séparé : Une trêve!
Je titube ....Mes lettres de printemps
Ont rattrapé le temps!
Mon verre d'alphabet...Rempli
Jusqu'à la lie....
Toutes mes lettres rient
Elles ont gagné le pari :
FINIR CE RECUEIL DE POÉSIES .
Pour cet écrit!
Mon ultime ver
"Dernier verre "!
C'est le petit dernier du .... 19/03/2016 - recueil ......MA POÉSIE ...
Mais pas le dernier de mes inspirations ....Un autre recueil en préparation !
Visitez ma page d'accueil cliquez ..."français"en haut de page où les recueils sont rangés ....Merci !
Message .
Messages reçus +++photo
++++++J'ai bien ri . Ton ultime verre est facétieux ! Tu alternes ton plaisant et gravité des pensées ! J'aime vraiment ! Et je t'aime tout court!
+++++Message: Waouh superbe Lucie tu fais fort ! De très beaux voyages avec toutes tes poésies c 'est un régal merciii et BRAVOS
+++++++Hips ! Ivre dévers ou A force de vers ! Hips, à la tienne la Poétesse et à moi la politesse !
+++++++Message: "Le printemps est là, je te sers mes vers"
A force de vers! ou Ivre dévers !
De verres en vers !
Je suis à l'envers
Et toi en dévers
Un dernier vers
Ton esprit danse avec les vers
Le mien s'en sert un dernier !
Les mots fusent sur la toile
Le recueil prends du repos
Ivre des tes mots, je somnole
Le temps d'une autre prose
De me remplir un autre vers
Me voilà devenu virtuose !
Je joue avec mes maux
Tu me fais tes louanges
Nos plumes s'en mêlent
Nous voilà aux anges !
Tu es en cette interligne
Moi perdu, si minuscule
Tes lettres me font signe
Je suis ton point-virgule (lol )
Ton Recueil se referme
Zut ! Me voilà prisonnier
Je repousse tes verbes !
Mais ils sont si entiers
Livrons-nous à l'écrit
çà et là sur des rimes
Poussons un grand cri
Au diable la déprime !
J'ouvre une parenthèse
Tu inscrits tes voyelles
Ferions-nous une thèse ?
Nous en aurions du zèle !
…/…
Thierry Malet Titiyab (le 20 mars 2016)
Tiens en parlant, j'entends toquer à la porte « c'est le printemps qui s'éveille »
