Texte de LUCYE RAYE.
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Souffle du vent!
Mes pensées poétiques
S'entremêlent aux cloches magiques
Je suis des vibrations avec le vent
Sonnant
Sifflant
Sur un désert de sable mouvant
Éliminer les méchants
Pour de bon
En tourbillon !
Je suis un ouragan
Tournant
Constamment
En vers soufflant
A la recherche d'un cœur aimant!
Beaucoup s'agitent en tempête
Font des girouettes
Se déclinent en vertige
Veulent briser mon battant et mes tiges !
Je suis une tornade
Je leur réponds en tirade
De tournoiements
Tourbillonnements!
Je deviens un typhon
Rien ne résiste au fond!
Et pourtant
Si en tumulte pétille ce vent
Je suis l'alizé
Très léger
Sur les vagues argentées
Qui déferlent sans danger !
Car l'humain n'est pas né ...Mauvais
C'est l'ouverture de la porte de la société
Qui a forgé
Des idées:
Il ne connait plus le bien et le mal
Amalgame ....Avec l'argent sale...
Et un DIEU invisible
Qui prône l'Amour invincible...
Je suis cette résonance de Force imbattable
On ne peut résister à mon charme aimable.
Je ne suis qu'une simple brise
Qui grise !
Ce vent vogue dans les airs
A la vitesse de la lumière
S'agite : tour du monde en un éclair !
Message .
Messages et commentaires reçus!
+++++Je n'ai pas encore lu ton poème mais quand je vois cette vue sur la mer, la tienne sans doute Car là où tu es la mer n'a pas d'horizon, le soleil se lève, se couche et il n'y pas d'abandon! Merci d'être là Je souffle avec le vent.
+++++Un soir de Pâques ! Mais tu sais que je l'entends un peu plus souvent maintenant! Je suis là, assis sur un banc, tout près de Le Barachois ! Je me lève pour me diriger vers le front de mer! Une fine pluie transperce un peu mes vêtements et je frémis. Ce soir la Lune est pleine! Il y a un monde fou sur la place et je peine à trouver une petite faille. Il me faut pourtant regagner mes pénates. Peut-être qu'on m'y attend encore un peu ce soir, il y a tellement longtemps qu'ils se sont envolés! Quelqu'un me tape sur l'épaule, je trésaille! Non ce n'était que la caresse du vent soulevant ma chemise! J'ai un peu froid mais la foule me happe, m'entraînant malgré moi vers la mer! J'entends son doux ronronnement, ces vas-et viens en ressac! L'air s'encombre de ces odeurs d'autrefois! Ce parfum si particulier qui me retourne les entrailles : La vie est là! Le bruit des manèges me ramènent vers la rive, mon dieu qu'il est bon d'être là : je trésaille ! Saint-Denis est en liesse ce soir, la fête à son paroxysme mais moi je m'éloigne! Les murmures de la foule monte vers la montagne, j'entends un enfant qui rechigne! Me voilà ramené bien arrière, je revois chaque détail ! Thierry Malet