Texte de LUCYE RAYE.
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Plume de rage!
Les plumes des poètes se déchirent
Hurlent : Rage d'écrire!*
Les cris des mots*
Soulager les maux
Les douleurs
Des hommes pleurent
Femmes et enfants meurent
Innocents sous des bombes d'exécuteurs !
Ma plume pleut des gouttes de sang
Je les dissémine sur tous les continents
Et même les océans
Seront rougeoyants!
Me taire ....JAMAIS sur cette terre
J'ai tellement écrit ma colère*
Que l'encre s'était asséchée
J'avais tout archivé.
Mes lettres ne s'effacent pas
Les horreurs des attentats
Sont indélébiles dans un coffre*
Que j'offre!
Nous avons tous envie de vivre
D'aimer et ne pas mourir!
Les enfants ....L'avenir
Les hommes de demain...
Les tuer ....Détruire notre chemin!
Je clignote mes yeux
Je m'incline devant les cieux...
Protégez les populations
De tous les mécréants qui tuent au nom d'une religion ...
Pour toutes les exactions
Ma plume demande pardon !
******A redécouvrir mes textes sur la rage d'écrire :03/09/2015 - Colère !
11/09/2015 - Fenêtre ...(rage de dire!)
02/07/2015 - coffre d'archives les cris des mots
Message .
Message!
+++++++oui, tu as bien raison de la faire parler !
+++++++très très fort !
++++++BIENVENUE DANS LE TRAVAIL LUCIE
POUR DIRE BONNE JOURNÉE AU BORDEL DE CETTE PLANÈTE
+++++++NE PLEURE PLUS LUCIE
NOUS ALLONS RENTRER DANS LE ROYAUME DU BON DIEU ("colère")!
++++++++Message: En l'eau de là !
Nous nous sommes inscrits dans ces entrelacs
Avec cette volonté farouche de chasser le glas
Cette musique infernale venue de cet au-delà !
Nous aimerions donner au monde des contrats
Comme si vous et moi en avions quelques droits
Comme si le monde était fait sur ces viles parois
Ces murs immondes où chacun i inscrirait sa loi ! Y Je sais !
Cela ne me gêne pas d'utiliser les mots d'autrefois
Lucide je vois, je mets pour vous des bla-bla-bla
Lucie dis-moi ! Que puis-je leur donner ici et là !
L'use-t-il parfois ce mots contre qui l'on se bat ?
L'ustensile employé vient du verbe, tout en débat
Nous savons toi et moi que le monde se repentira
Quand les hommes comprendront que le combat
N'est autre qu'une procession qui fait fi à cet amas
Faits de ces corps inutiles que nous mettons à plat
Nous ne sommes rien mais d'autres sont apparats !
Bof, que veux-tu, moi je ne serai que leur appâts !
…/…
Thierry Titiyab Malet (le 28 mars 2016)
