Texte de LUCYE RAYE.
Images internet !
Douces pensées .
Promenons -nous comme personne ne s'est jamais promené !
Les arbres de la forêt
Nous donnent des positivités !
Dansons comme aucun n'a jamais dansé !
La piste de danse est isolée ...
Valsons ....
Tanguons ...
Aimons -nous comme personne ne s'est jamais aimé !
Dans des endroits insolites et personnalisés !
Écrivons comme aucune encre ne l'a fait!
On sera lu et recommandé
Dans tous les livres de français !
Philosophons sur l'amour et ses bienfaits
D'autres l'ont cogité...
Mais ils ne l'ont pas assez expérimenté
Érotisme et sensualité
Comme TOI et MOI en amoureux sensibilisés"!
Crions au monde entier
Que la beauté
De la femme est pureté
Il faut la protéger
Et surtout l'aimer !
Commentaire ..(facebook)..Très beau texte .....
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Coco ijahman (vendredi, 29 avril 2016 16:07)
Magnifique notre poétesse tes beaux poèmes me font rêver voyager un vèritable moment de détente merciii pour cette excellent travail !
Joelle Brethes (samedi, 30 avril 2016 06:05)
... mais peut-on être toujours "original" dans tout ce qu'on fait ? ;-)
Thierry Titiyab Malet (samedi, 30 avril 2016 08:33)
Femme en danger,
La femme telle nous l'aimons serait-elle en danger
Deviendrait-elle un prédateur prête à nous happer
C'est l'homme qui la pousse à devenir si déchaîner !
C'est encore l'homme, le mâle qui la veut si calquée
La formatant en sa condition bestiale, à l'armée (alarmée!)
Lui enlevant son rôle de mère, l'obligeant à opérer
En tous domaines,! Pour ainsi la forcer à coopter !
A nos viles intentions, à notre volonté de posséder
Tout ce qui appartenait à notre monde, il est vrai
Fauchant au passage la tendresse d'un être aimé!
Décapitant l'amour comme s'il était devenu pêcher
Non femme, rester telles que vous êtes : liberté!
Et non statut de marbre, refroidie et opportunité !
Pour ces hommes en souffrances, aux yeux voilés
Non femme, reste sans épée, et sois notre vérité
Car vous êtes en secret, cette part de nous cachée
Trop orgueilleux pour l'admettre, trop molestés
Par la folie meurtrière qui nous pousse à tuer !
…/...
Thierry Titiyab Malet (le 30 avril 2016)