Texte de LUCYE RAYE.
Image internet !
VALEUR .
Depuis que tu es parti
Ma vie s'est affaiblie
Tu étais ma nourriture
Mes jours sans blessure!
Depuis que tu as disparu
Des errances sans aucune vue
Le sourire m'est revenu
Après tant de mois dans la rue !
Car la vie est un billet
Il faut la conserver!
C'est une prison dorée
J'arrive enfin à respirer !
Cette fenêtre entrebâillée
Durant trop d'années
Je l'ai ouverte à d'autres amis
Car les tiens ont aussi péri !
Les miens m'avaient abandonnée
Mon miroir s'était brisé.
Le désert s'était agrandi :
Trop de solitude et de nostalgie .
Ton départ a laissé un béant vide
Je le comble avec ma plume avide
Dans mes nuages fluides
Elle secoue son encre lucide !
Pour une circulation en bolide
Souple et rapide
Elle est limpide.....
Depuis que tu t'es éclipsé
Dans ton monde de paix
Amour de ma vie
J'ai compris
Sa valeur....
Il n'y a plus de pleurs !
Je ris de nous
De cette vie de "bijoux" !
Un texte à relire (qui a eu du succès )28/12/2015 - TON NOM .
Message reçu de Thierry Titiyab
****Message: Tes deux textes sont purs et si sincères
L'amour perdu et qui pourtant perdure
Les années passent et l'on est cet hère !
Cette personne qui recherche l'air pur
Un courant d'air qui parait centenaire
J'ai beau me retrouver en cette verdure
Que je ne saurai ni consoler, ni déplaire
Le temps nous est conté! On se rassure !
******Suite(commentaire Facebook de Thierry) La valeur est en celui qui se faufile sur l'heure pour ne pas risquer de faire du mal par erreur! Il est si difficile de s'exprimer sur des thèmes quand l'autre ose parler de ses malheurs! Pourtant ! Pourtant l'on se droit d'être là pour lui dire que le monde est ainsi fait et que c'est une valeur! Libre est l'expression car on ne peut la mettre sous tuteur. J'ai lu et parcouru tes deux textes et je peux dire que tu as beaucoup de pudeur.
De Pascal Ruiz (photo ,texte et vidéo)
Le temps, triste laboureur,
Avec ses sillons griffe
nos heures. Finie l'horreur,
Si une graine ébouriffe
La terre de nos mémoires,
Des visages de l'amour.
Et l'on rogne les déboires,
Selon le rythme du jour.
Lucie est un fleuve de sensibilité. Elle caresse les berges de nos humeurs et nous offre la primeur de son firmament.
LE 19 JUIN DE Pascal Ruiz *******En revanche l'un des vôtres a mal interprété un de mes commentaires sur votre mur. Ci-après ma réponse : " Je fais une triste mine...
Combine, combine... !?
Non, je n'ai que la rime,
Pour stimuler le sublime.
La poésie et sa noblesse,
Dérive dans la détresse,
Si le façonnier de prose,
Utilise un mot névrose.
Combine, combine... !?
Je fais une triste mine."
DE COCO .....CETTE PHOTO
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Coco ijahman (lundi, 13 juin 2016 20:17)
Tout vos poèmes sont splendides ! c'est un plaisir de vous lire..... Merciii Lucie et Thierry
Thierry Titiyab Malet (mardi, 14 juin 2016 11:26)
Quel trio ! Quel brio!
Te voilà en Héroïne
Tu sais jouer des maux
Pascal Ruiz combine!
Allons vers ce hameau
Vers cette dame féline
Vêtus de nos oripeaux