Texte de LUCYE RAYE.
Images internet (première retouchée) !
Cinquième étage !
Du haut de mon cinquième étage
La ville s'est éteinte comme mon visage
Et la lune d'une ocre pâle de son grand disque blanc
Enveloppe toutes les zones en décroissant !
En équilibre sur ma rambarde
Je suis sur un perchoir de lumières blafardes
La vie m'offre ce qu'il y a de plus beau
Le silence et l'amour vus d'en haut !
Je tressaille au sommet de mon monde
Qui traverse sur les ondes
Car une voix voluptueuse résonne notre refrain,
A traversé le temps dans les souterrains !
Une porte se referme : ton pas dans cette lueur
Je me retourne! Je sursaute de ma douce torpeur
Nos étreintes cherchent la pénombre tendre et propice
On est envahi de désirs complices !
Notre ville est devenue bleue
Notre étincelle allume les feux
Car je t'attendais depuis longtemps
Mon éternel printemps !
Ton corps m'enseigne la vie
Tu devines ma folie
La lune a fui
Du haut de mon cinquième étage
Un renouveau de passage!
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Thierry Titiyab Malet (samedi, 24 septembre 2016 10:56)
Perché sur mes convictions, suspendu à ses conditions
Je ne voyais plus la vie, pour moi tout était 'abnégation
Sur ses remparts, j'errai dès lors, ne sachant que faire
Puis ton visage m'est apparu, j'ai chancelé sur les fers!
Sur cette rambarde où s'accrochait mes doutes d'hier
En bas le monde s'abandonnait, et moi sur mon cahier
J'écrivais mes souhaits d'un monde plus dans l'humanité