Texte de LUCYE RAYE.
Images internet .
A GENOUX !
Ce soir ,il n'y a que nous
Et je me mets à genoux!
Une génuflexion
Pour trouver les solutions
L'univers nous regarde amers
Le vent siffle sur la mer.
Le monde est devenu clone
Couche d’ozone,
Abus de l’homme sur toutes les zones !
Le monde est noir
Le jour comme le soir.
Tout se meurt
Où est le bonheur ?
Éruption volcanique
C’est satanique !
Tremblement de terre
C’est le désert !
Temps cyclonique
C’est maléfique !
Là, où l’homme passe !
Notre terre se casse
Elle se fêle*
Couleurs pastelles
Ou couleurs primaires
Bleu marine de la mer
Vert cristallin
De nos pins
Anéanties.
Le monde est gris.
Je me mets à genoux
Pour nous !
Modifier les couleurs de notre monde
En chantant dans la ronde
Du rose, du bleu ,du vert et du blanc
Pour effacer le noir en orange attendrissant
Un voile immaculé
Pour une terre rebaptisée!
A genoux
Pour vous
Pour nous !
Une ballade dans les forêts automnales aux feuilles rougissantes
Partager sur les murs cybernétiques mes poésies valsantes
Dégager les larmes ,les bombes et les remords
Il y aura moins de blessés dès l'aurore
Mes tendres pensées
Vont tous les désarmer ...
Je me mets à genoux
Pour toi ,pour lui ....Vous ....NOUS !
*Couleurs du monde recueil sirène d'écriture !
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Thierry Titiyab Malet (mercredi, 19 octobre 2016 16:04)
Oh Raison !
Magnifique oraison, en aurai-je perdu la raison
Le monde s'avance et on se trouve en pendaison
Aurai-je moi aussi perdu toutes mes illusions ?
Les maux s'enlacent, nos mots se font position
Aurions-nous perdu la foi, laissé place à l'action
Celles que mènent, les forbans, ces demi-portions
Jamais ils ne mettront à genoux, nos divisions *
Quels sens donné à ce mot, à cette abnégation !
Odile Mercier (mercredi, 19 octobre 2016 18:52)
Lucy vos mots, nous rassemblent, vous, moi d'autre qui ouvrent leurs yeux sur les terribles exactions commises au nom de Dieu.
A genoux... En prière... Des mots pour redonner espoir à ce monde...
Très important votre poème..
Et j'aime toujours vous lire Lucy.
Odile M
Joelle Brethes (jeudi, 20 octobre 2016 04:25)
Triste lecture tôt matin... L' Homme est vraiment la pire chose qui soit arrivée sur Terre !
Coco ijahman (jeudi, 20 octobre 2016 14:49)
Oui magnifique poème dans la tristesse.. mais il ya toujours une étincelle une lueur d'espoir dans la pénombre ! Merci Lucie
Lilou (jeudi, 20 octobre 2016 20:50)
Un poème , un Amour , une citation
De tous les jours , offert comme un cadeau d'anniversaire offert à tes lecteurs /lectrices de toujours ....
Et nos vies s'ouvrent à toi poétesse
comme un livre dans tes mains
merci encore pour ce magnifique
partage ....
Liliane Céline (jeudi, 20 octobre 2016 21:04)
Il y a parfois des périodes où la vie
nous met à l'épreuve et vient bouleverser tout ce qui nous semblait stable et acquis depuis des années .....
Quand la vie nous mets à genoux
on peut choisir ou refuser de se mettre debout ......
je grandis ..je vieillis, je souris
sans trop poser des questions ..?
Thierry Titiyab Malet (vendredi, 21 octobre 2016 08:46)
On ne devrait jamais se mettre à genoux car je trouve cela avilissant et traumatisant
Hélas (même moi, je l'ai été et pas qu'un genoux) nous sommes souvent confrontés à des personnes malveillantes
et tyranniques et qui nous soumets à cette vile posture ! Je dis Non , je cri NON !
Thierry Titiyab Malet (vendredi, 19 octobre 2018 20:48)
Un genou à terre pour quémander de l'amour
Un genou par terre pour accueillir un présent
Autant dire que nous ne pouvons mettre à jour
Ces moments complaisants, ce jour déplaisant!
Thierry Titiyab Malet (samedi, 20 octobre 2018 19:27)
Ne restons pas absents et encore moins consentent ! Se mettre à genoux n'est pas à faire dans n'importe quelle circonstance!
Thierry Titiyab Malet (dimanche, 21 octobre 2018 07:55)
Demande pardon !
Comme si la vie
Ne se suffisait pas à elle même,
Comme si le démon
N’avait pas fait assez de dégâts,
Me voilà contraint à me plier
Et à te supplier !
Demande pardon
Quelle est ma faute
Pourquoi dois-je le faire
J’ai plus ou moins
Quelques années entre le 0 (naissance)
Et les 12 ans
Le fouet s’avance
Je me replie
Il s’insurge,
Me frappe
Me voilà transit
Quelle plaie
Pourquoi ?
Moi, je suis né,
Et je te respecte
Pourtant, je ne suis
Qu’un objet à tes yeux
Et lorsque la haine t’atteint,
Caen : tu sors de tes gongs
Je n’ai plus de souffle
Je perds la raison