Indispensable ...

Indispensable ... 

Mes cheveux s'étalent sur mon oreiller

Ta main caresse mon  dos

Ils frissonnent  en cette aurore illuminée 

Tu m'offres un café chaud .

 

Le temps s'arrête un instant

Puisqu'on attrape ce temps vers tous les horizons

Ensembles , nous écoutons ce léger vent

Toutes les questions que se posent les monts

 

Tu m'as rejointe avec ce soleil levant

Un  satin tout blanc t' accueille en amoureux

Le jardin s'est tu en te voyant 

Des parfums inconnus nous bercent jusqu'aux cieux

 

Tu es primordial à mes oiseaux encore silencieux

Leurs chants à peine audibles quand tu es absent

Tu es absolu à ma nature et à mes yeux

Tu colores mes rêves de vertige à mon présent.

 

Du haut de ma houle ,tu es l'essentiel de ma vie 

De ma vague , tu es le souffle de mon alizé

Tu es la muse enchantée de ma poésie

Je tourbillonne avec les marées 

 

Tu es vital  à ma mer et ses  lames

Tu te glisses  sous mes draps avec attention 

Tu es indispensable à mon âme de femme

Tu es mes soupirs ! Tu es ma  respiration .

 

LUCYE RAYE   27 avril 2018

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Messages reçus

Thierry Titi Yab Malet

Message: Très belle leçon de vie ma soeur Lucie, je te souhaite une agréable journée. Merci du partage.

C'est drôle ce qu'un être peut vous manquer même quand il est à quelques mètre de vous!

Car ceux sont les choses oubliées, ces journées endiablés, ces fous-rire effacés que l'on tait !

On est las, l'un à côté de l'autre mais, on ne se parle plus, on ne se touche plus et on se regarde sans ce voir (plus que des colocataires)

Où est passé leur complicité, qu'ont-ils fait des merveilleux souvenirs qui les envahissaient lors des longues soirées d'hiver!

Chacun campe sur sa position, on se toise à peine, l'autre a le regard fuyant, on se fusille du regard et on n'ose plus se  parler

Un dialogue de sourd s'installe, certains appellent ça la routine ennuyeuse d'autres diront qu'ils sont trop fiers (orgueilleux )

À qui fera le premier pas, à qui voudra bien mettre son égo de côté pour rétablir cette belle complicité qui les liée hier encore!

Puis viendra la houle douloureuse et on ne vivra plus que ces verres de larmes et on se nourrira de remords refroidis!

On se pensait indispensable et puis un jour!!!!!!!

 

 

Nom: Christian LERAY

Message: Gostei da sua linda Poesia com muita sensualidade ! Bom fim de semana Amiga Poetisa.

Chris Leray

J'ai apprécié de lire ton poème Lucie Mayot Crescence surtout à mon réveil et je vais le partager sur ma page BrasilBreizh